L’entreprise axe sa stratégie sur un développement matériel raisonné au profit d’investissement humain. Depuis 2005, date de création de l’entreprise, elle est forte d’une dizaine de salariés consciencieux, qui ont le désir de bien faire, en répondant aux exigences du métier. Le travail est accompli avec respect, fierté et dans la bonne humeur. La retransmission des savoirs faires et des savoirs être est plus facilement assurée.
L’INTUITION :
Le défi du “beau et du bon”, le développement de la valeur humaine et l’expérimentation de l’audace.
Le défi du “beau et du bon” :
L’entreprise met tout en œuvre pour offrir à ses clients le meilleur travail possible avec une certaine éthique. Ainsi, l’entreprise adhère à une association : l’Economie de Communion (EdC). Cette association invite à une gestion d’entreprise centrée sur l’humain, la culture du don, le respect des différents acteurs (salariés, fournisseurs, clients, commerciaux, …), l’écologie, entre autre.
Nous souhaitons amener les personnes, le client, l’ouvrier, le passant à regarder chaque chantier comme une œuvre unique, belle et participant au fonctionnement de la “cité”. Nous espérons ainsi permettre à chacun de poser un autre regard sur le travailleur et sur son travail.
Le développement de la valeur humaine en milieu professionnel :
L’entreprise met tout en œuvre pour permettre aux personnes qui la constitue d’expérimenter la relation humaine au coeur du dispositif professionnel, afin d’y découvrir un épanouissement personnel et professionnel. Nous espérons que cet épanouissement rayonne en dehors de l’univers professionnel.
L’expérimentation de l’audace :
Par un contrat de réciprocité entre toutes les parties (dirigeant, salariés, fournisseurs, clients) et par une volonté affirmée de chaque salarié, l’entreprise met tout en œuvre pour vivre et oser la confiance concrétisée tous les jours dans un milieu à but lucratif et de rentabilité. Pour l’entreprise, créer de la richesse est un moyen et non un but afin qu’il profite à ceux qui la produise. Le bénéfice devient un vecteur actif d’une “économie osée autrement”.